
Le dimanche 6 octobre, j’ai emprunté le long trajet qui me mène à Gif-sur-Yvette pour assister à quelques heures du festival littéraire VO-VF qui fait la part belle à la traduction et à celles et ceux qui la font.
Ce fut un passage éclair, mais il m’a tout de même permis de croiser quelques confrères et consœurs (coucou Alice, Stoyan, Nadège, Marie-Louise, entre autres).
J’ai assisté à la présentation de l’École de Traduction Littéraire (dont je suis une ancienne élève, promotion 2015-16) et dont les candidatures 2025 viennent juste de se clôturer.
Comme chaque année à présent, Olivier Mannoni et les élèves de la promotion actuelle ont proposé au public de se prêter à une forme de tempête d’idées pour trouver des propositions de traduction pour divers slogans, dans toutes les langues, sur tous les sujets (assurances, féminisme, sécurité routière…) et ce fut un joli succès. L’assistance n’a pas hésité à faire de multiples propositions, ce qui prouve une fois de plus que l’intelligence collective est décidément la meilleure. Je pense que cette séance sera mise à disposition sur la chaîne YouTube du festival prochainement, je veillerai à l’insérer ici le moment venu.
Et pour couronner ces instants fort agréables, j’ai eu la chance de récupérer auprès de Nadège Gayon-Debonnet, consœur et copine du collectif 1Up, quelques ouvrages qu’elle a traduits de ses vertes mains 🙂







Enfin, j’ai fait l’acquisition de ce volume dont le titre m’a interpellée : Des Montagnes de questions de Stéphanie Lux, aux éditions La Contre allée, ainsi que d’une affiche, car j’ai trouvé l’illustration de cette année, signée Vanessa Hié, de toute beauté.




Je me réjouis de me plonger prochainement entre ces pages.
