kali_

Les semaines se suivent… et se ressemblent un peu.

Parmi les choses faites :

– Bien avancé ma traduction du recueil de nouvelles d’Harold Lamb.

– 3 journées pleines sur site dans 2 entreprises à faire des traductions, des relectures et de la gestion projet.

– Envoyé toutes mes notes de M2. Clap de fin sur l’université.

– Accepté un livre pratique sur le thème du jardinage à boucler pour fin juillet. Moi qui ai toujours rêvé d’avoir un jardin.

Le saviez-vous ?

Dans ma nouvelle de fantasy historique, je suis sur un passage assez costaud, limite débat théologique. Apparemment, les divinités indiennes revêtent souvent plusieurs formes et chacun est libre d’adorer telle ou telle forme plutôt qu’une autre. Ce qui peut causer quelques dissensions de temps à autre, comme l’illustre la nouvelle. Je m’y perds un peu dans la foule de ces figures variées, mais petit à petit, je trouve tout de même quelques repères.

Je découvre que Jagannath, dont je parlais précédemment, n’est autre que le « saint patron » de la manifestation de Ratha Yatra, défilé de chariots indiens qui parcourent la capitale chaque année. J’ai donc déjà profité d’un repas végétarien offert par Jagannath à Paris, sans savoir que quelques mois plus tard j’allais traduire toute une nouvelle sur lui. Cette année, l’événement est programmé pour le 8 juillet d’ailleurs.

RathaYatra

Et puis en passant, pourquoi Kali tire-t-elle la langue ? Selon Catherine Clément : « Pour comprendre la langue pendue de la déesse Kali, faisons un détour par une des techniques du yoga. […] Cette langue tirée, qui symbolise la langue libérée du muscle du frein qui la rattache au palais [sic], est donc un signe ascétique important. » (Promenade avec les dieux de l’Inde, Points, 2007, p. 85-86).

Agenda

Enfin, parmi tous les événements passionnants auxquels je ne pourrai sûrement pas me rendre la semaine prochaine, je retiens en particulier :

Demain matin, à Paris, la Matinale de la SFT sur la terminologie.

Lundi 25 juin, à l’INALCO, présentation du livre Shakespeare a mal aux dents par leurs auteurs, Marie Vrinat-Nikolov et Patrick Maurus.

– Programme alléchant pour le Marathon des mots à Toulouse, du 28 juin au 1er juillet.

Les liens du moment

Appel à contributions pour le numéro 1 de la revue Éclats sur le thème « Traduction et adaptation » 

– Cette semaine, on parle beaucoup du regretté Bernard Hoepffner à l’occasion de la parution de son roman, Portrait du traducteur en escroc. À défaut d’avoir trouvé un article non payant sur cette actu, on peut se replonger dans cet article de lui dans la revue Palimpsestes, sur l’ombilicalité du traducteur.

hoepffner

Et c’est tout pour aujourd’hui, bonne semaine !

 

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