Entre le férié et les activités autres qui sont venues hacher menu cette semaine, je n’aurai travaillé en tout et pour tout que deux jours et demi.
La liste des choses faites est sûrement bien plus courte que celle des non faites, mais on va tâcher de rester positif :
– 1 jour et demi sur site de traductions et relectures. Je ne savais pas qu’il y avait tant de musées à visiter à Washington, D. C. Et j’ai appris un nouveau mot : « songstress » pour chanteuse. Bêtement, je pensais que c’était un mix entre « singer » et « mistress », mais non, c’est apparemment simplement la forme féminine de « songster » (autre mot que je ne connaissais pas). L’occasion aussi de méditer sur l’apport de la technologie dans les métiers de la traduction : est-ce toujours vraiment une aide ?
– Enfin terminé de noter les partiels des Master 1. Y a plus qu’à s’attaquer à ceux des Master 2 et l’année universitaire touchera donc à sa fin.
– 1 presque journée à traduire les derniers articles sur les jeux vidéo pour le projet X. Contente de boucler, mais en même temps me dis que ça me manquera de ne plus avoir ces articles bien ficelés à traiter.
Le saviez-vous ?
L’un des premiers casques de réalité virtuelle fut inventé dans les années 1960 par un informaticien américain, Ivan E. Sutherland. Ultimate Display fut rapidement surnommé « épée de Damoclès ». Pourquoi donc ? Eh bien, vu la taille et le poids du dispositif, il fallait le suspendre à des bras fixés au plafond pour qu’il n’écrase pas l’utilisateur. Les images (voir l’illustration en tête d’article) font froid dans le dos, mais c’est grâce à cette inventivité et donc un certain courage que la RV est devenue ce qu’elle est.
Agenda
Enfin, parmi tous les événements passionnants auxquels je pourrai ou non participer la semaine prochaine, je retiens en particulier :
– Pour revenir sur les rapports technologie/traduction, les Matinales de la SFT proposent justement de « démystifier la traduction automatique » ce samedi 26 mai à 10 h 1, au Café du Pont Neuf.
– Mercredi 30 mai, 19 h à la Maison de la Poésie, Soirée inaugurale de la 4e édition du Printemps de la Traduction, organisé par ATLAS. Conférence « Traduire pour dire le monde : un enjeu du XXe siècle » par Bernard Banoun, qui dirige notamment le prochain et dernier volume de l’Histoire des traductions en langue française, consacré au XXe siècle, à paraître chez Verdier. Puis une lecture musicale d’un texte de Mark Twain intitulé Cette maudite race humaine. Si l’on en croit le site de l’éditeur, cela s’annonce comme une « tendre satire ».
– Samedi 2 juin, suite du Printemps de la Traduction, avec ateliers le matin, déjeuner de printemps et conférence que je louperai malheureusement sur « Traduire une langue fantôme ». Et entre les deux, il y a plein d’autres événements, rencontres en librairie etc. Le programme complet est par ici.
Et c’est tout pour aujourd’hui, je file de ce pas aux Imaginales. Bonne semaine !
Merci pour ces bribes !
Avec plaisir 🙂